L’incontinence urinaire désigne la perte d’urine involontaire par l'urètre en dehors de la miction. On cite l'incontinence par dysfonctionnement vésical, par regorgement et l'incontinence urinaire d'effort (fuites lors de la toux, éternuement, pratique sportive, port de charges etc.). L'incontinence peut concerner les hommes et femmes de tout âge.

On parle de prolapsus, communément « descente d'organe », lorsque les organes du petit bassin ne sont plus soutenus et font saillie à des degrés divers dans le vagin ou même au-delà de la vulve s'il est extériorisé. Il peut concerner isolément ou en association la vessie (cystocèle), l’utérus
(hystérocèle) et le rectum (rectocèle).

Cette pathologie, aussi appelée hyperactivité vésicale, se caractérise par une envie soudaine, urgente et irrépressible d'uriner. Elle peut s'accompagner ou non de fuites associées.

Il s'agit d'un mécanisme de protection mis en place lors d'une tentative de pénétration, par une contraction involontaire et douloureuse des muscles pelviens. Cette contraction peut rendre la pénétration impossible ou possible mais très douloureuse.

Il s’agit d’un inconfort vulvaire de plus de trois mois, généralisé ou localisé, spontané ou au contact, sans lésions visibles pertinentes et sans maladies neurologiques cliniquement détectables. Le symptôme le plus fréquent de la vulvodynie est la dyspareunie: c'est souvent ce symptôme qui pousse les femmes à consulter.